(crédits photographiques : trois sources différentes, issues du groupe de marcheurs)

 

Entre canal et rivière

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à la recherche des peupliers noirs

Cette année, aucun saumon n’est en mesure de passer l’échelle… un jour peut-être.

Petit briefing avant de se lancer sur la piste du peuplier noir [3-6]. La dame au chapeau sombre donne des informations sur le puits d’enfer[7-8]. Tous écoutent avec attention, prêts au voyage [9]. Certains choisissent avec soin compléments d’information ou proposition de voyage[10].

En route pour la découverte d’un paysage que nos ancêtres du néolithique ont découvert avant nous il y a 5 à 7 000 ans[11-12].

Les designers du cru ont optimisé le mobilier ruralo-urbain[13].

Les peupliers noirs... Ils sont la-bas…[14] et ces arbres là, les premiers habitants n’ont pu les voir : ils ne sont arrivés qu’aux XVIIIe siècle[15-16].

Leur âge vénérable [17-18] a contraint les agronomes de l’INRA [19]qui veillent sur eux à éclaircir leur ramée.

 

Pendant les promeneurs profitent du charme d’une journée d’été, dans les bureau de la mairie, on étudie l’avenir des lieux[20].